Chercher à prodiguer un parcours personnalisé pour une prise en charge plus adaptée à chaque personne. Cet objectif est celui du neurothérapeute dès sa première rencontre avec les parents de l’enfant TDAH présentant des difficultés d’attention et des troubles du sommeil. Le Neurofeedback est une méthode reconnue efficace depuis 2014 par l’Association Américaine de pédiatrie qui regroupe 64.000 pédiatres. La même année, la Haute Autorité de la Santé en France (HAS) reconnaît le TDA/H comme une entité et publie ses recommandations. Le sommeil joue un rôle central pour les fonctions cognitives, les apprentissages et la consolidation de la mémoire. Une privation de sommeil ou unLIRE LA SUITE – >

L’apprentissage cérébral par Neurofeedback est une méthode bien codifiée. De très nombreux praticiens l’utilisent avec succès depuis une trentaine d’années dans différents domaines. L’apport des neurosciences confirme l’intérêt pour cette méthode d’apprentissage cérébral par Neurofeedback. Les bases fondamentales de l’apprentissage en Neurofeedback Il est utile de le rappeler. Le principe d’apprentissage de base en Neurofeedback repose sur le conditionnement opérant. Voici un article récent, traduit en français, qui décrit les étapes de l’entraînement cérébral en Neurofeedback. L’apport des neurosciences Le cerveau humain est l’objet le plus complexe sur Terre. Il est une formidable machine à apprendre. L’apport des neurosciences contribue considérablement à une meilleure connaissanceLIRE LA SUITE – >

Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique: en 1980, la reconnaissance du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est obtenue sous la pression d’un groupe de vétérans du Vietnam et de plusieurs psychothérapeutes. Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique fait partie des moyens rapidement utilisés. Un cadre conceptuel se met en place. Le SSPT est inclus dans la troisième version du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM). A partir de ce moment, des cliniciens lancent de nombreuses recherches pour tenter d’atténuer la souffrance de ces patients. La première étude sur le neurofeedback pour le stress post-traumatique En 1991 paraît la première étude sur le Neurofeedback pour leLIRE LA SUITE – >

Le Neurofeedback EEGq connait actuellement un regain d’intérêt et conjointement, le développement cérébral atypique de l’enfant Dys s’avère être le plus souvent la règle. Cette une méthode permet de régulariser le fonctionnement cérébral et elle est démontrée efficace pour le TDAh. Des professionnels de nombreux pays anglo-saxons l’utilisent pour améliorer les différents troubles du développement chez les enfants. Ces troubles frappent de très nombreux enfants d’âge scolaire. Pour y faire face, les intervenants des réseaux de la santé et de l’éducation s’orientent vers une prise en charge pluridisciplinaire. Nous proposons dans ce cadre une approche neuro intégrée pour aider l’enfant Dys. Cette approche s’appuie surLIRE LA SUITE – >

expérience animale

Nous voici rendus à la septième proposition exposées dans le premier article de cette série «les 7 raisons pour lesquelles le placebo est si important quand on parle du Neurofeedback”  7- Il existe des moyens de départager l’effet placebo des effets spécifiques dans les études de recherche clinique sur le Neurofeedback. La littérature scientifique, qui ne compte aucune étude négative, suggère que le Neurofeedback joue un rôle thérapeutique majeur dans de nombreux domaines   DR FRANCK DUFFY, DIRECTEUR DES LABORATOIRES DE NEUROPHYSIOLOGIE CLINIQUE ET DÉVELOPPEMENTALE À L’HÔPITAL POUR ENFANTS DE BOSTON (USA). Le septième article complète ce tour d’horizon sur l’état actuel de la pratique de la méthode de Neurofeedback EEGq. Il témoigneLIRE LA SUITE – >

les liens entre corps et cerveau

Les troubles posturomoteurs sont fréquemment associés à ceux du langage chez l’enfant Dys. Les troubles spécifiques de l’apprentissage, (lecture, écriture ou mathématiques) et du développement (langage ou motricité) coexistent très souvent. La nouvelle version du DSM 5 inclut l’ensemble de ces troubles dans les troubles neuro-développementaux . Une étiologie commune Ils ont en commun de débuter pendant les phases initiales du développement et d’être fréquemment associés. On parle de comorbidités ou de co-occurrences. Ce qui  suggére des bases étiologiques en partie communes. Les troubles moteurs Les difficultés motrices des enfants dyslexiques peuvent concerner la motricité générale. Ils affectent d’autres domaines moteurs : Celui de l’oculomotricité ou de la graphomotricité etLIRE LA SUITE – >

Écart type en EEGq

La pratique du Neurofeedback EEGq se base sur une évaluation initiale par électroencéphalographie quantitative. Cet examen permet de mesurer pour comprendre. Il est essentiel pour fixer un protocole d’entraînement cérébral, précis et ciblé par rapport aux objectifs. Cette condition est absolument indispensable à la réalisation du neurofeedback selon les “bonnes pratiques”. Rappelons le 6ème point selon les “ 7 raisons de considérer l’effet placebo dans le neurofeedback “ : 6- La pratique du Neurofeedback est indissociable de l’outil de mesure. Il s’agit de l’électroencéphalographie quantitative – l’EEGq On ne connaît pas complètement une science tant qu’on n’en sait pas l’histoire. Auguste Comte Un peu d’histoire Il serait donc vain de vouloir connaîtreLIRE LA SUITE – >