Cohérence cardiaque & neurothérapie

Définition Développée aux États-Unis dans les années 1995, la cohérence cardiaque (ou résonance cardiaque, coherent breathing ou heart coherence en anglais) se caractérise par un phénomène de balancier physiologique résultant de la synchronisation de l’activité des systèmes nerveux sympathique et parasympathique. La variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) La fluctuation permanente de la fréquence cardiaque est aujourd’hui reconnue. La variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) s’avère être un indicateur fiable de la capacité du cœur à ajuster son rythme en réponse aux sollicitations internes ou externes.  Régulée par le système nerveux autonome (SNA), cette VFC est gouvernée par deux composantes antagonistes, à savoir : –LIRE LA SUITE – >

L’Humain et ses structures de besoins L’être humain, dans sa complexité, est régulé par une variété de besoins. Ces besoins déterminent sa façon de penser, d’agir et d’évoluer.  Parmi eux, cinq besoins sont considérés comme essentiels pour le bien-être et l’épanouissement de tout être humain.  Abraham Maslow, psychologue (1908-1970), a élaboré une théorie des besoins, la «pyramide des besoins», en 1943. Cette hiérarchie, débutant par les besoins essentiels, s’étend jusqu’à l’auto-accomplissement. Avant d’atteindre les niveaux supérieurs, les besoins primaires doivent être satisfaits. Ainsi, sa vision a profondément éclairé la compréhension de la motivation humaine. Sa théorie a marqué la psychologie et la gestion, offrant uneLIRE LA SUITE – >

La prise en charge pluridisciplinaire de la douleur chronique recourt de plus en plus souvent au Biofeedback et au Neurofeedback. Les résultats des travaux récents en neuroanatomie et en neurophysiologie confirment le bien fondé de ces techniques. Leur efficacité présente de plus en plus d’intérêt compte tenu de la complexité de l’entité nosologique de la douleur chronique. Introduction En préambule, soulignons la complexité de la prise en charge de la douleur chronique et les difficultés souvent rencontrées par le neuropraticien dans sa pratique du Biofeedback et du Neurofeedback. Un premier constat s’impose : l’importance de la dimension psycho-émotionnelle de la douleur chronique. Dès lors, ilLIRE LA SUITE – >

L’apprentissage cérébral par Neurofeedback est une méthode bien codifiée. De très nombreux praticiens l’utilisent avec succès depuis une trentaine d’années dans différents domaines. L’apport des neurosciences confirme l’intérêt pour cette méthode d’apprentissage cérébral par Neurofeedback. Les bases fondamentales de l’apprentissage en Neurofeedback Il est utile de le rappeler. Le principe d’apprentissage de base en Neurofeedback repose sur le conditionnement opérant. Voici un article récent, traduit en français, qui décrit les étapes de l’entraînement cérébral en Neurofeedback. L’apport des neurosciences Le cerveau humain est l’objet le plus complexe sur Terre. Il est une formidable machine à apprendre. L’apport des neurosciences contribue considérablement à une meilleure connaissanceLIRE LA SUITE – >

Le Neurofeedback EEGq connait actuellement un regain d’intérêt et conjointement, le développement cérébral atypique de l’enfant Dys s’avère être le plus souvent la règle. Cette une méthode permet de régulariser le fonctionnement cérébral et elle est démontrée efficace pour le TDAh. Des professionnels de nombreux pays anglo-saxons l’utilisent pour améliorer les différents troubles du développement chez les enfants. Ces troubles frappent de très nombreux enfants d’âge scolaire. Pour y faire face, les intervenants des réseaux de la santé et de l’éducation s’orientent vers une prise en charge pluridisciplinaire. Nous proposons dans ce cadre une approche neuro intégrée pour aider l’enfant Dys. Cette approche s’appuie surLIRE LA SUITE – >

expérience animale

Nous voici rendus à la septième proposition exposées dans le premier article de cette série «les 7 raisons pour lesquelles le placebo est si important quand on parle du Neurofeedback”  7- Il existe des moyens de départager l’effet placebo des effets spécifiques dans les études de recherche clinique sur le Neurofeedback. La littérature scientifique, qui ne compte aucune étude négative, suggère que le Neurofeedback joue un rôle thérapeutique majeur dans de nombreux domaines   DR FRANCK DUFFY, DIRECTEUR DES LABORATOIRES DE NEUROPHYSIOLOGIE CLINIQUE ET DÉVELOPPEMENTALE À L’HÔPITAL POUR ENFANTS DE BOSTON (USA). Le septième article complète ce tour d’horizon sur l’état actuel de la pratique de la méthode de Neurofeedback EEGq. Il témoigneLIRE LA SUITE – >