Pourquoi est-il essentiel de bien dormir ? «Le sommeil est comme une banque. Investissez-y du temps, et vous serez riche en énergie.» auteur anonyme Outre vous donner de l’énergie dans la journée, le sommeil a plein de fonctions différentes qui impactent le corps et le cerveau. En voici quelques-unes :  En ce qui concerne le corps :  Au niveau du cerveau :  Impliquant le corps ET le cerveau : Le sommeil impacte l’énergie que l’un et l’autre produisent et dépensent. Il permet de restaurer les réserves d’énergie disponible dans le corps et dans le cerveau, afin de nous préparer à l’activité et à la vigilanceLIRE LA SUITE – >

Avant de répondre à cette question, il convient dans un premier temps de comprendre ce dont on parle et de définir le terme de coordination motrice. Qu’est-ce qu’un trouble de la coordination motrice ? Un “trouble de développement de la coordination” (TDC) est aussi appelé “trouble de l’acquisition de la coordination”. On le nomme aussi “dyspraxie développementale”. La perception du corps est également appelée schéma corporel. Elle fait référence à notre conscience et à notre représentation mentale de notre propre corps. Cela inclut la connaissance de la taille, de la forme et de la position de nos différentes parties corporelles.Une personne souffrant d’un tel trouble aLIRE LA SUITE – >

La prise en charge pluridisciplinaire de la douleur chronique recourt de plus en plus souvent au Biofeedback et au Neurofeedback. Les résultats des travaux récents en neuroanatomie et en neurophysiologie confirment le bien fondé de ces techniques. Leur efficacité présente de plus en plus d’intérêt compte tenu de la complexité de l’entité nosologique de la douleur chronique. Introduction En préambule, soulignons la complexité de la prise en charge de la douleur chronique et les difficultés souvent rencontrées par le neuropraticien dans sa pratique du Biofeedback et du Neurofeedback. Un premier constat s’impose : l’importance de la dimension psycho-émotionnelle de la douleur chronique. Dès lors, ilLIRE LA SUITE – >

Écart type en EEGq

La pratique du Neurofeedback EEGq se base sur une évaluation initiale par électroencéphalographie quantitative. Cet examen permet de mesurer pour comprendre. Il est essentiel pour fixer un protocole d’entraînement cérébral, précis et ciblé par rapport aux objectifs. Cette condition est absolument indispensable à la réalisation du neurofeedback selon les “bonnes pratiques”. Rappelons le 6ème point selon les “ 7 raisons de considérer l’effet placebo dans le neurofeedback “ : 6- La pratique du Neurofeedback est indissociable de l’outil de mesure. Il s’agit de l’électroencéphalographie quantitative – l’EEGq On ne connaît pas complètement une science tant qu’on n’en sait pas l’histoire. Auguste Comte Un peu d’histoire Il serait donc vain de vouloir connaîtreLIRE LA SUITE – >

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La non spécificité en Neurofeedback est un effet majeur sur lequel il faut absolument capitaliser. Il amplifie la réponse de l’action thérapeutique. Tout en induisant une rémanence durable par neuroplasticité. Suite à la lecture du 4ème article, tout devient plus clair, Imaginez un seul instant! L’ampleur de l’effet placebo dans l’action thérapeutique Posez-vous la question Jusqu’à quel point des effets non-spécifiques influencent-ils les résultats? La cinquième proposition des 7 raisons enfonce un peu plus le clou! 5-  Le Neurofeedback est une méthode d’apprentissage qui nécessite la participation active de l’accompagnateur. Elle engage nécessairement des effets non spécifiques parallèlement à des effets spécifiques, Débutons par l’importance de cette non spécificité. Nous terminerons parLIRE LA SUITE – >

Nous allons parler aujourd’hui du placebo sans tromperie. Rappelez-vous! Dès le premier article sur ce thème, nous avons proposé les sept raisons de considérer l’effet placebo dans le Neurofeedback. Cela va peut-être vous surprendre, mais nous avons l’obligation: De fournir des informations précises sur l’effet placebo à tout utilisateur de la méthode. Cela n’entrave absolument pas les bienfaits de la méthode! Lors du dernier article, nous y avons même ajouté les «différentes facettes de l’effet placebo». C’est bien étrange! La constatation suivante est bien plus stupéfiante encore: Cet effet peut fonctionner, même si le sujet sait qu’il a reçu un médicament factice. Sans aucune tromperie! DesLIRE LA SUITE – >

François Rabelais

Cette citation de Rabelais, “Science sans conscience n’est que ruine de l’âme” est tirée de Pantagruel, son œuvre majeure. Ce troisième article va compléter notre point de vue sur cette question tant débattue et dont vous avez pu lire toutes les péripéties dans l’article précédent. La puissance du Neurofeedback est surmultipliée par un effet de surpuissance. Cela est dû en grande partie à la technologie avant-gardiste du système utilisé. Oui, nous le pensons! Comme nous l’avons exposé dans la troisième proposition des 7 raisons exposées dans le premier article sur ce thème: N’est-il que cela? Je vous invite à nous suivre dans les nuances de notre point de vue. Partons ensemble, siLIRE LA SUITE – >

Un Super placebo?

La position de la «psychiatrie scientifique» franco-canadienne Un débat crucial! Voici la deuxième partie de l’article sur le thème du placebo et du Neurofeedback. Cet article est entièrement consacré au débat qui est survenu, particulièrement depuis un an dans la communauté francophone du Neurofeedback. Ce débat a été l’occasion de plusieurs publications. Malheureusement, toutes ont été publiées en langue anglaise. Pourtant, nous demeurons fidèles à notre mission. Nous nous efforçons donc ici de traduire, au maximum de nos possibilités, ces publications en français. Un rapport détaillé: Le rapport du contenu de ce débat peut paraître long. Toutefois, ce contenu détaillé est très utile, car Il permet deLIRE LA SUITE – >